Jeanne d’Arc écoutant ses voix
photo dans l’ancienne église Jeanne d’Arc rue Bossière,
qui ne semble pas correspondre avec l’oratoire/chapelle
L’oeuvre
Titre | Jeanne d’Arc écoutant ses voix |
Date | Entre 1914 et 1918 |
Technique | Huile sur toile |
Dimensions (HxL) | ? |
Signature | |
Propriétaire | Non localisé |
Informations complémentaires
Littérature et fortune critique :
Abbé Maurice, Le Fief de Tourneville, 1929 (Gallica)
Au sommet, à l’angle de la dernière terrasse, au nord du pavillon actuel, se trouve un petit oratoire construit en brique plate, avec porte et deux fenêtres ogivales aux verres coloriés. Le soubassement est en silex noir. Il ne peut être question, là, de l’ancienne chapelle Sainte-Marguerite des Le Neuf, livrée déjà « aux injures du temps à la fin du XVIIe siècle ». Probablement, cette dernière fut construite par M. A. Eyriès qui y plaça une statue en bois de sainte Marguerite. Madame Chapuis-Grosos a restauré cet oratoire et, de 1914 à 1918, le fit à nouveau servir au culte. Un tableau de Jeanne d’Arc (œuvre de Mesdames Jules Dero et Oustrières) écoutant ses voix y associe délicatement le souvenir de sainte Marguerite, jadis patronne des lieux, à celui de la guerre qui vit ouvrir à nouveau la chapelle.
« On pourrait s’étonner de voir Marguerite Radoux réaliser une peinture d’histoire, genre qu’elle n’a, a priori, jamais pratiqué. Mais la guerre avait conduit en France à une union sacrée de tous les partis et tous les camps autour de Jeanne d’Arc, devenue la « sainte des tranchées » » (extrait de Marguerite Radoux, Ma vie est ma Peinture, Liège Musées 96).
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